photo Belmondo Dead Jazz

Belmondo Dead Jazz

Sens 89100

Le 23/01/2025

Festival de jazz/ Les 20 ans Jazz psychédélique Moins hommage qu’interprétation, moins relecture que résurrection, DeadJazz fait revivre la musique du Grateful Dead, le groupe mythique des années psychédéliques. Puisant dans un répertoire culte, porté par des musiciens qui ont noué, autour des frères Belmondo, des liens indéfectibles depuis des décennies, ce projet collectif s’apparente à une immersion dans un moment crucial de l’histoire de la musique : quand le jazz s’est électrisé aux rythmes du rock et le rock s’est libéré du carcan de la chanson par l’improvisation. Développée selon un dispositif à deux claviers en miroir, telles les deux guitares au cœur de la machine du Grateful Dead, cette aventure vibre au son des timbres distordus des Fender Rhodes et autres Farfisa qui ont fait le son des sixties, pilotés de main de maître par Laurent Fickelson et Eric Legnini. Dégageant les formes des morceaux, conservant leur complexité sous leur apparente simplicité, Lionel Belmondo a pensé le répertoire comme des chansons qui s’ouvrent sur l’improvisation et accueillent des solos qui déchirent autant qu’ils illuminent leur cadre. Portées par les frappes de Dré Pallemaerts,[...]

photo Belmondo Dead Jazz

Belmondo Dead Jazz

Musique, Jazz - Blues

Sens 89100

Le 23/01/2025

Festival de jazz/ Les 20 ans Jazz psychédélique Moins hommage qu’interprétation, moins relecture que résurrection, DeadJazz fait revivre la musique du Grateful Dead, le groupe mythique des années psychédéliques. Puisant dans un répertoire culte, porté par des musiciens qui ont noué, autour des frères Belmondo, des liens indéfectibles depuis des décennies, ce projet collectif s’apparente à une immersion dans un moment crucial de l’histoire de la musique : quand le jazz s’est électrisé aux rythmes du rock et le rock s’est libéré du carcan de la chanson par l’improvisation. Développée selon un dispositif à deux claviers en miroir, telles les deux guitares au cœur de la machine du Grateful Dead, cette aventure vibre au son des timbres distordus des Fender Rhodes et autres Farfisa qui ont fait le son des sixties, pilotés de main de maître par Laurent Fickelson et Eric Legnini. Dégageant les formes des morceaux, conservant leur complexité sous leur apparente simplicité, Lionel Belmondo a pensé le répertoire comme des chansons qui s’ouvrent sur l’improvisation et accueillent des solos qui déchirent autant qu’ils illuminent leur cadre. Portées par les frappes de Dré Pallemaerts,[...]

Ressources supplémentaires